“Il n’y a pas d’art plus grand que celui de vivre. Les meilleurs artistes sont ceux dont les sens détiennent le plus de finesse. Inutile de laisser une trace ailleurs que dans sa propre peau.”
“Mais deux éléments ne peuvent seuls former une composition qui soit belle, sans l’intervention d’un troisième; il faut en effet, entre les deux, un lien qui les réunisse.”
https://babel.hathitrust.org/cgi/ls?field1=ocr;q1=shadow;a=srchls;lmt=ft
https://www.redblobgames.com/articles/visibility/
http://teaching.csse.uwa.edu.au/units/CITS4241/Handouts/
http://www.design-tech.org/casting-shadows/
The Dipole Repeller
https://www.youtube.com/watch?v=NpV0GQo3P0c
“We are acquainted with an external world because its fibres run into our own consciousness; it is only our own ends of the fibres that we actually know; from those ends, we more or less successfully reconstruct the rest, as a palaeontologist reconstructs an extinct monster from its footprint.”
“Il faut apprendre à aimer l’irréversible.”
http://home.cern/about/updates/2017/06/lhcs-objective-maximum-intensity
“L’exil est vécu comme une coupure, une fracture, une perte. Et nombreux sont les
individus qui, ayant expérimenté l’exil, ont fait état de cette perte qui n’est pas anodine. Et comment le serait-elle, puisque l’objet que l’on pleure dans l’exil, c’est le lieu de son origine, celui qui nous a vu naître, ce lieu duquel nous nous sommes arrachés pour fêter notre rencontre avec le soleil. Ce que nous perdons dans l’exil, c’est le sens de cette rencontre inédite entre un individu et la vie : l’exilé n’a plus devant ses yeux la raison totale de son existence, il n’en a que des bribes, des séquences, des souvenirs… ”
“La conscience du temps est indissociable de la conscience de soi : percevoir le temps, c’est percevoir la continuité de son être dans le temps à travers les facultés de mémoire et d’anticipation.”
“Process, the ubiquity of becoming, (...).”